Quand Winamax sera-t-il prêt pour le partage des tables avec les espagnols ?

La salle au W a toujours été à l’avant-garde des innovations technologiques et a su se diversifier toujours à bon escient. Cela a été le cas, par exemple en 2013, avec l’introduction de la première application de poker sur mobile au monde ou plus récemment avec son entrée réussie dans le monde lucratif des paris sportifs (Coupe du Monde de Football 2014). Avec le partage des liquidités désormais possible avec nos 3 principaux voisins de l’Europe du Sud, Winamax se prépare à étendre son emprise sur le vieux continent, à commencer par l’Espagne.

Jouer sur le site Winamax.fr avec Patrick Bruel, star emblématique du poker.

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« Comment partager avec nos voisins européens les liquidités au poker et aux jeux d’argent réel en général ? »

Voilà bien un sujet qui a tenu en haleine les joueurs de l’hexagone pendant des années, presque une décennie.
Il faut dire que la loi française de Mai 2010 (avec son pendant espagnol promulgué un an plus tard en Mai 2011) avait tout fait pour cloisonner le marché des jeux en ligne : les français ne pouvaient jouer légalement que sur des sites en .fr, et les espagnols sur des sites en .es. Il en était de même avec les italiens qui ne pouvaient s’inscrire que sur des sites en .it alors que les portugais n’avaient droit qu’au .pt. Et pas question d’autoriser un quelconque voisin à venir partager nos tables de jeux : l’on ne pouvait jouer que contre les ressortissants de son propre pays de résidence !

Ce concept de ‘chacun chez soi‘ a permis de créer très rapidement un cadre légal pour les jeux d’argent dans chacun des pays concernés. C’est ainsi que Winamax a été l’un des premiers opérateurs à obtenir sa licence poker en .fr, abandonnant au passage son ancienne application en .com.

Mais après une période d’euphorie liée à l’ouverture légale des jeux, et tout comme ses challengers, la salle au W a vue sa clientèle chuter fortement. Fort heureusement, la diversification dans les Paris Sportifs (à la veille de la Coupe du Monde 2014) a permis à l’opérateur parisien de trouver de nouveaux relais de croissance. Certains de ses concurrents n’ont pas eu cette volonté et ont du se retirer du marché (Subito, Titan Poker, Partouche,..).

C’est à partir de cette date que les principaux opérateurs français (tout comme leurs pendants européens qui avaient les mêmes difficultés dans leurs pays) se sont mis à faire du lobbying auprès de leurs gouvernements respectifs pour réclamer un partage des liquidités. En France, il faudra attendre Septembre 2016 pour que la loi sur le numérique (portée par Axelle Lemaire) autorise cet partage avec nos voisins européens. Les joueurs de Winamax, comme ceux des autres salles européennes se sont mis tout à coup à rêver de prizepools XXL.

Mais rien ne va jamais suffisamment vite en Europe ! Particulièrement lorsque le domaine concerné touche à la fiscalité, ce qui est bien évidemment le cas avec les jeux d’argent. Pour aller plus vite 4 pays de l’Europe du Sud (France, Espagne, Italie et Portugal) décident de se concerter et arrivent à signer un accord l’année suivante, en Juillet 2017 (convention de Rome).

Les ingénieurs de Winamax mettent à profit cette année de concertation sud européenne pour mettre à jour leur logiciel, aussi bien sur le volet ‘Poker’ que sur le volet ‘Paris Sportifs’. La salle au W avait déjà une forte expérience de l’accueil de joueurs multinationaux (à l’époque du poker en .com) ce qui a du faciliter les développements. En février 2018 pas moins de 9 postes étaient encore ouverts à l’étranger chez l’opérateur (3 en Espagne, 3 en Italie et 3 au Portugal), tous les 9 orientés vers le service client, le marketing ou le trading en paris sportifs. On ne trouve aucune position ouverte en développement logiciel, ce qui tend à prouver que l’opérateur est fin prêt à déployer ses solutions hors des frontières hexagonales.

Du côté de la team Winamax, la salle a également anticipé l’extension européenne en embauchant, dés l’automne 2017, deux valeurs sûres du circuit international: l’espagnol Adrián Mateos Diaz et l’italien Mustapha Kanit.

Mais avant que Winamax ne puisse accueillir les joueurs espagnols, italiens ou portugais sur ses tournois ou sur ses parties de cash game, faut-il encore qu’il obtienne les licences correspondantes dans ces pays.

Si PokerStars (fort de sa présence antérieure et simultanée dans les 2 pays) a été le premier à obtenir sa licence franco-espagnole (Janvier 2018), Winamax est fin prêt et devrait être logiquement le 2ème opérateur de l’hexagone à obtenir son sésame trans-pyrénéen. L’accord de licence franco-espagnol de Winamax est attendu dans les tous prochains jours : PokerReel.fr ne manquera pas de revenir vers vous lorsque cet accord sera effectif

Avec à la clé un effet de levier qui devrait théoriquement atteindre la dizaine de milliers en tournoi (10 euros de ticket d’entrée pour des cagnottes de l’ordre de 100 000 euros) alors qu’il plafonne actuellement à 4 000 au maximum sur le marché franco-français. Un régal pour les joueurs des 2 côtés des Pyrénées !

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